J’arrive à Borgarnes. Je suis partie du Nord, de ce village où il n’y avait rien à part la station service qui est aussi un fast-food et la piscine. Mettre mon vélo dans le bus, ici, c’est tellement la classe. Il y a un rack arrière sinon tu le glisses en soute. Pas besoin de le démonter… les chauffeurs, je n’ai pas vu de chauffeuse, sont megas cool. Par contre, ils conduisent comme des oufs. J’avais oublié que j’avais le mal de voiture… là j’étais heureuse descendre. En plus avec mon mal de dos… tous tes sens se perdent. En effet, les routes islandaises… ça descend et ça monte, et tu vois bien que la route n’est pas droite dans le virage que le bus penche. C’est genre comme dans l’ICN entre Neuchâtel et Yverdon, mais upgrade. Et le driver, il y va à fond… il connaît la route par cœur. Il dépasse les 4×4, les 4x4torous, les bustorous et les voitures normal. Il a pas deux roues avant et deux roues arrières, mais 2 en avant et 4 en arrière. Le truc qui lui donne une puissance de ouf. Bref, et toi t’es là dans ton siège en mode « I feel sick ».
Il s’arrête dans les stations services pour prendre et laisser descendre des personnes. C’est les arrêts officiels. Lorsqu’il arrive dans les stations, je regarde par la fenêtre dans les vitrines pour vérifier que the Nad est toujours bien sur le rack.
J’ai demandé au conducteur : « is the rack safe for my bike? ». Il a ri, puis enchaîné, « well we lost once 2 bikes, electrical, they were too heavy, since then we only take 5 bikes maximum, ahahha » et il se marre. Il a des lunettes de soleil à la Kim Kardashian, la soixantaine et un bon embonpoint. Il me fait assez rire, tu vois que c’est le King de son bus.










2 réponses sur « The bus »
C’est fou comme les conducteurs de bus sont tous allumés dans le monde entier…! Clairement le moyen de transport que je crains avant tout!!!
aha oui !!!!